Une petite nouvelle dans un grand pensionnat!

Cela faisait déjà 3 jours que je voyageais en direction de ce célèbre pensionnat, malgré la grande rapidité du bateau, j’étais encore loin d’arriver. Mais j’avais entendue dire que c’était là où l’on si attendais le moins que l’on trouvait l’ile du pensionnat. Alors je restais passive et ne prêtais guère attention au temps qui passait. Il y avait beaucoup de brouillard autour de nous et pourtant il faisait incroyablement chaud, mais la fin de l’été approchait et le brouillard le montrait bien. J’avais tellement hâte d’arriver à destination que toutes les 5 min j’allais voir le capitaine et je me mettais à lui raconter, à chaque fois, les même choses. Je lui disais que lorsque je serais là-bas je ferais mon possible pour devenir plus puissante que jamais et que je remplirai à la perfection mon devoir de chargée de discipline. Je crois que je devais être vraiment insupportable, mais à ce moment-là j’avais besoin de parler, j’avais besoin de refouler mes émotions quelque part.
Et puis, petit à petit, nous remarquions une ile se dessiner dans le brouillard. J’entendis le capitaine me dire que nous étions enfin arrivés à destination et je me mis à sauter de joie.
Une fois accosté, je descendis doucement du bateau et je remarquai que sur l’ile il n’y avait aucune trace de la moindre trace de brume. J’étais si heureuse d’être enfin là où je devais être. Je pris ma valise et fit un dernier signe d’au revoir au capitaine avant de partir dans les fins fonds de la forêt. Avec la valise ce n’était pas très simple d’avancer, elle était lourde et les roulettes se prenaient dans les racines qui sortaient de terre. Mais voilà ça m’était égal, je décidai de tenter de soulever ma valise pour aller un peu plus vite et c’est ce que je fis. Prise d’une grande foulé je me mis à courir, la valise en main, je me demandai d’où me venait toute cette force. Mais rapidement je dus ralentir car j’étais épuisée. Je m’assis un peu au pied d’un arbre mais je me relevai rapidement car je me disais qu’il serait mieux de se reposer une fois sur place.
J’arrivai enfin devant le pensionnat. Je posai ma valise à terre et contempla, la bouche entrouverte, l’immense bâtiment qui se dressait devant moi.

-C’est ici. Et bah dis donc c’est pas petit…

J’entendis que quelqu’un venait par ici. Ses pas venaient de derrière moi. C’était surement un nouvel élève comme moi et à cette simple pensée j’en étais toute contente.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 29/08/2008

J'était en route également pour ce fameux pensionnat gigantesque et j'était arriver devant le pensionnat ou plûtot derrière!je mourrais de faim mais ma mère m'avais obligée a y aller ce matin très tôt!
Je regardais le chemin et comptais mes pas tracée sur le sol comme une CM1 et me disais que je pourrais me faire de nouvelles amies peut être?
enfin je ne voulais pas trop parlez de ce sujet ci car sa ma marquer tout ça....

-Oh? tient c'est drôle? je ne suis pas devant le pensionnat ?a oui c'est par là!

je marchais et marchais et j'arrivais et il y avais une fille devant alors je regardais au tour de moi et marchais tout doucement et j'était juste derrière de la fille.

-Oh tu est nouvelle dans le coin? moi oui....je...suis Wendy...Wendy Horomi...

Après avoir emprunté l’avion, au bord du quel elle s’était ennuyée terriblement entre un monsieur qui n’arrêtait pas de lui parler et la fenêtre, l’hybride se sentait à l'étroit... Elle détestait cela. L'adolescente avait hâte que l’avion se pose. Après quoi elle emprunta un taxi qui l’avait déposée non-loin du pensionnat. La jeune fille avait préféré continuer à pied pour prendre un peu l’air.
Les alentours du pensionnat étaient spacieux et agréables. Une douce brise faisait onduler ses cheveux longs et noire. C'était cette même brise lui chatouillait les oreilles. Ses pieds s’enfonçaient agréablement dans l’herbe fraiche. Les arbres éclairés par le soleil qui commencait à peine à se coucher était grands et verdoyants. La jeune fille avait l'habitude de ce paysage qu'elle affectionnait particulièrement.
Ayumi suivait tranquillement le chemin terreux qui menait jusqu'au pensionnat. Elle n’était pas pressée d’arriver. La jeune fille était plutôt anxieuse de savoir qu’est-ce qu’il allait se passer à son arrivée et de savoir comment allait se passer sa vie au pensionnat.
Finalement, elle arriva devant l’immensité de pensionnat, la porte de marbre était plutôt impressionnante. Celle-ci était entre-ouverte. Ayumi, sa petite valise noire à la main, passa sa tête dans l’entre-porte. Elle aperçu deux jeunes filles. Elles avaient toutes deux des bagages.

* Elles doivent être nouvelles, elles aussi. *

Ayumi aurait espéré ne croiser personne à son arrivée, mais il était trop tard. Les inconnues l’avait vue. Elle penetra dans le grand hall d’entrée. Vêtue d'un long kimono blanc aux bordures rouges foncées ainsi que de sa couronne d'or qu'elle portait en permanence; elle entendit l'une des deux élèves se présenter: Wendy Horomi. Elle marcha vers les deux jeunes filles, les fils d'or qui pendaient à sa couronnent se heutèrent en quelques petit "tic".
La jeune hybride prit une grande inspiration pour faire s'echapper son stress.

" Bonjour "

Dit-elle timidement.

[HP: Ordre de post: Atsuko, Wendy, Ayumi.]

Je me tournis vers la personne qui arrivait vers moi. C’était une jeune fille qui a en voir son visage était bien plus jeune que moi, elle était toute petite et je la trouvais mimi, d’ailleurs je ne comprenais pas trop pourquoi. Peut-être parce que pour moi tout ce qui était petit était mignon, enfin bref elle avait l’air gentille et je lui fis donc un sourire pour la saluer. J’allais me présenter quand soudain mon regard se posa sur son cou, non ! Pas maintenant, je m’étais battue pendant des années contre mes pulsions de Vampire et à présent ça allait recommencer. Je refusais cela alors je tournis rapidement la tête. Je réussis à me calmer rapidement donc je la regardai à nouveau et avec un sourire aux lèvres je me présenta enfin.

-Moi c’est Atsuko Sakura.

Je vis qu’une nouvelle fille venait d’arriver, elle avait l’air un peu effrayant mais quand on la regardait je trouvais surtout qu’elle avait l’air d’être quelqu’un de très malheureux. Je souris à la belle inconnue aux cheveux noirs et répondis par « bonjour » à sa salutation particulièrement timide.
Nous rentrâmes dans le pensionnat, le hall était aussi spectaculaire que l’extérieur. Mais il était vide, personne, aucun autre signe de vie à part nous trois. D’ailleurs il ne devait pas avoir grand monde et surtout personne aux alentours car je ne distinguais pas l’odeur du sang d’une autre personne.

-Bon alors, l’une de vous sait ce qu’il faut faire maintenant ?

En posant cette question je me dis que j’étais légèrement stupide, allez savoir pourquoi. Quoi qu’il en soit je me tournis vers elle et posa ma valise au sol en attendant de savoir ce qu’il fallait faire.

Nombre de messages : 11 Date d'inscription : 29/08/2008

Wendy pris le temps de réfléchir sans rien trouver et alors elle regardais le paysage qui lui ai très familier! elle vit de belles maisons avec des filles qui viennent aussi du pensionnat et il y avait de plus en plus de monde qui apparaissais, elle regardais autour d'elle et vit une personne ouvrir les grilles du pensionnat et nous le suivons ensuite et nous sommes maintenant à l'intérieur du pensionnat et il est magnifique un vrai chef d'œuvre!

-Oh! vous avez vu! c''est magnifique vu de l'intérieur n'est ce pas? ah oui j'ai oublier de dire mon nom comme une cruche! je m'appelle Wendy, Wendy Horomi!

*Oh qu'elle nulle! je l'ai déjà dit pour l'autre fille xD!!*

L’autre des deux jeunes filles se présenta : Atsuko Sakura. Celle-ci avait un air angélique et jovial et devait a peu près avoir son age. Maintenant qu'elle connaissait les noms de ses deux interlocutrices. Ayumi sentit que c’était à son tour de se présenter, elle n'aimait pas tellement ça mais s'executa. Après tout, elle allait passer beaucoup de temps dans ce pensionnat et surement recroiser ces deux personnes.

" Je m’appelle Suzuki Ayumi, enchantée. "

La jeune fille se courba légèrement par politesse en direction des deux élèves. L'adolescente posa delicatement sa valise par-terre. Le sol était d'une propreté inégalable et brillait sous les lumière du pensionnat. C'était des lumières artificielles produites par de l'electricité... Ayumi n'aimait pas tellement ça car elle sentait que c'était "mecanique" mais peu importait; elle continua de scruter la salle. Les escalier scintillaient tout autant que les dalles glacées sur lesquelles marchaient les élèves. Les immenses murs qui constituaient l'internat étaient d'une blancheur immaculée, sur les coins desquels se trouvait de magnifiques moulures.
Ayumi prenait connaissance du hall lorsqu'Atsuko demanda si l’une d’elle savait ce qu’il fallait faire maintenant.
Wendy, quand à elle complimentait l’intérieur du pensionnat. Elle avait un air d'enfant et avait tout autant de joie de vivre que l'autre.
Ayumi revena à la question d'Atsuko, elle n’eut même pas à réflechir pour se question. C'est vrai que c'était un peu bête comme interrogation. L'hybride posa ses yeux sur Atsuko et lui répondit de ce même ton neutre qu'elle avait utilisé pour se présenter:

" Je pense qu'il faudrait aller ranger nos affaires dans les dortoirs. "

Je trouvais que le pensionnat était vraiment grandiose, chaque chose avait un côté magnifique et puis grâce à ces lumières artificielles j’aurai moins chaud et mal à la tête. Le seul défaut, qui était plus simplement « horrible », était ces murs d’un blanc inégalé, je n’aimais pas les habitations avec des couleurs aussi claires. Peut-être parce j’étais habituée à ces maisons où tout était très sombre…Mais peut importait, tant que je pouvais vivre correctement en ces lieux tous allait bien. Je me tournai à nouveau vers les deux jeunes filles et rigola légèrement quand Wendy répéta son nom pour la seconde fois. L’autre se présenta enfin, je trouvai son nom magnifique, d’ailleurs il me rappela quelque chose, mais quoi ? Je n’en savais rien mais ce n’était qu’une petite coïncidence de rien du tout alors je passai vite ce fait. Sa politesse était extrême et, gênée car je n’étais pas aussi polie, je fis de même pour essayer de me rattraper un peu.

*Je dois être ridicule…Quelle nulle !!*

Et puis rapidement, Ayumi répondis à ma question et à cet instant je me sentis réellement stupide. Mais une autre question vint à moi…Où étaient les dortoirs ? Comme je ne voulais pas qu’elles me trouvent plus bête que je ne l’étais déjà, je ne leur posai pas la question. Là un jeune homme, qui, par son odeur devait être un humain, vint à nous.

-Alors vous êtes perdue mes chéries. Vous voulez un peu d’aide ?

Je lui jetai un regard noir, non seulement car je n’aimais pas son langage mais en plus de ça car il empestait le sang de racailles. Il s’avança vers moi mais je ne bougeais pas, continuant à le fixer avec mes yeux devenus rouge sang en signe d’auto-défense, ce qui signifiait que je n’hésiterai pas à attaquer s’il le fallait.

- Une vampire, hein ? Tous de la m*rde ces gens-là. Ils devraient tous disparaître.

S’en était trop, je ne pouvais plus me contrôler, mes instincts de délinquante revinrent à une vitesse folle. Alors je l’attrapa par la mâchoire inférieur et le souleva en broyant ce que je tenais entre la main.

-Ferme-la sale vermine ou jamais je ne t’oublierai !

J’étais devenue ce que je ne voulais plus être, mais à moins que personne ne m’arrête à ce moment même, ce garçon allait mourir ici devant tout le monde…

Mes pieds s’enfonçaient dans la boue. J’avais froid, et il me semblait que plus j’avançais, plus le chemin vers le pensionnat s’allongeais. Soudain, je fût prise d’un horrible mal de tête, et chancela. C’était la maladie, celle qui m’avait tuée à la naissance. La Cascade de la Vie avait, grâce à son eau pure, pût imposer des limites, mais cette saleté était toujours présente. Je m’appuyais contre un arbre et respiras longuement, comme je l’avais fais tant de fois. Après quelques minutes, je me remis sur pied et continua ma route.
Lorsque je regardais autour de moi, tout était différent. Les arbres, les fleurs n’étaient pas les même qu’à Steinya. L’habituel soleil éclatant dans un ciel toujours bleu était à présent caché par de gros nuages blancs. Le pensionnat, au loin, n’avais rien à voir avec l’architecture que je connaissais. Pourquoi, ô grand pourquoi, ma grand-mère avait-elle tant voulue que j’aille, moi, Motoko Keisang, 15 ans, jeune elfe apprentie à la magie blanche, dans cet endroit étrange ? Pourquoi, à chaque fois que je lui posais la question, elle me répondait toujours par « C’est le destin qui l’a choisi, Motoko, c’est le destin… » ?
Plongée dans mes pensées, je fût brusquement interrompue par un long et grave cri. Je terminais en course rapide le chemin restant et débusquais dans une immense salle, blanche, majestueuse, époustouflante. Au centre se trouvaient quatre personnes : trois jeunes filles et un jeune homme. Une des jeunes filles avait un air horrifié, l’autre étonné. La dernière tenait l’homme par la mâchoire. C’était sûrement lui qui avait crié. Je ne supportais pas de voir les gens souffrir, aussi criai-je à la jeune fille :
« Arrête ! Pourquoi tu fais ça ?»

Un jeune inconnu se joigna aux élèves, il les salua en employant un mot qui fit tilt chez Ayumi: "chéries".

* Pour qui est-ce qu'il se prends ? *

Elle le foudroya du regard, sans bouger. Celui-ci insulta la race des vampires... Ayumi ne savait pas trop quoi penser des vampires. Sa mère en était une, est-ce que sa faisait d'eux des alliés ? Sachant qu'ils l'avaient eux aussi rejetée et que son père était un elfe peutètre étaient-ils ses ennemis... Ayumi decida de laisser faire le temps, elle verra bien.
La jeune hybride fut sortie de ses pensée par un cri de douleur. Oui, c'était bel et bien l'étranger qui venait de leur adresser la parole. Atsuko l'avait attrapé par la machoire et le soulevais. Elle avait l'air très impulsive. Surement était-ce une vampire pour reagir d'une telle façon.
On avait vraiment l'impression que la jeune fille était partie pour tuer ce garçon. Ayumi observait la scène en silence lorsqu'un nouvelle fille apparut, cette fois en courant. Elle paraissait paniquée et essouflée.

* Elle a dut entendre le cri *

La nouvelle demanda à Atsuko pourquoi est-ce qu'elle faisait ça. Ayumi se permis de prendre la parole en regardant la nouvelle venue.

" Il le mérite "

Dit-elle d'un ton neutre, comme à son habitude. Elle posa son regard sur Atsuko en un petit "dling" que faisaint ces traits d'or en s'entrechoquant lorsqu'elle bougeait trop la tête. Elle ajouta:

" Mais ce n'est pas une raison pour lui faire rendre son dernier souffle, il n'en vaux pas la peine. "

Les bras le long du corps, son kimono immaculé trainait presque par-terre. D'un petit coup de tête, Ayumi dégagea une mèche de cheveux qui lui gênait la vue. Ses grands yeux rouges se posèrent sur l'affreu garçon qui avait osé insulté les vampires...
Il ne savait surement pas qu'il allait se faire maitriser par Atsuko; pensa-t-elle. L'hybride eu un petit sourire du coin de la lèvre à cette pensée. Qu'est-ce que les humains pouvaient être bêtes.

Je ne voulais pas faire ça, je ne voulais pas sa mort. Enfin j’étais vraiment en colère, mais pour moi la mort n’était pas la solution à nos problèmes. Une partie de moi combattait contre mon côté de délinquante, mais celle qui dominait lorsque je me mettais en colère était bien présente et il m’était très dur de la maitriser. Une fille arriva et me cria dessus en me demandant pourquoi je faisais ça et à cet instant je fus encore plus en colère… La stupidité des humains, comme s’ils avaient tous les droits et nous, les Vampires, étions traités comme des moins que rien, interdits de vivre pleinement notre vie en dehors des remparts. Ce qu’elle avait dit était pour moi comme si elle me disait que même s’il me maltraitait je n’aurai pas le droit de me défendre. Alors je ne la regardai même pas et serra plus fort ma prise. Mais je fini par me calmer car j’entendis une voix douce et pure, elle était merveilleux et fit refaire surface la vraie moi. Cette fille était Ayumi, je ne savais pourquoi sa voix m’avait tant frappé, mais c’était le cas et grâce à elle j’avais surmonté ma colère. Je lâchai la mâchoire du garçon et baissa la tête.

-…

Je relevai la tête et fit un large sourire aux filles qui étaient avec moi, prenant ma valise je commençai à marcher en direction de l’escalier.

-On va aux dortoirs ?

Je regardai brièvement le jeune homme qui était parti en courant en passant par les escaliers mais le plus loin de moi possible. Cela me faisait vraiment de la peine, car à peine étais-je arrivée j’avais déjà fait quelque chose de mal. Tout les Vampires me connaissaient comme étant la délinquante la plus dangereuse de tout Bloodey. Si les élèves, Vampire ou non, venaient à savoir que c’était moi, je suis sûre que j’aurai de nombreux problèmes, aussi devais-je me montrer la plus discrète possible au sujet de cette période de ma vie…

La main de la fille se crispa sur la mâchoire de l’homme. Je regardais ses yeux. Il était rouge-bordeaux. Une vive lueur de haine brillait en eux. Une boule se coinça dans ma gorge. Pour moi, le message était clair : si je ne faisais pas attention, cette fille allait me faire du mal. Ma main tremblait ; j’avais peur.
Mais une des filles s’avança, celle aux longs cheveux noirs et au kimono blanc. D’une voie calme et monotone, elle me dit :
« Il le mérite. »
Puis, elle se tourna vers la fille qui tenait toujours l’homme par la mâchoire, malgré son regard apaisé. Je ne voyais plus en elle qu’une fille malheureuse et honteuse. Je me détendis.
« Mais ce n'est pas une raison pour lui faire rendre son dernier souffle, il n'en vaut pas la peine. » dit la fille au kimono.
La première fille relâcha donc l’homme, qui s’enfuit en courant. Elle baissa la tête, pris une grande inspiration, puis releva la tête, un grand sourire aux lèvres.
« On va aux dortoirs ? dit-elle joyeusement
-Je… » mais je n’eu pas le temps de finir ma phrase qu’une vielle dame arriva, un bloc-notes à la main. Je reconnu à ses traits qu’elle était une elfe. Cela me rassura un peu car je n’en avais pas encore vu depuis mon arrivée.
« Bonjours, dit-elle, je viens prendre vos noms pour vous donner votre dortoir afin que vous puissiez y ranger vos valise. Vous serez deux par dortoir. »
Elle avait dit tous cela très vite, et nous mîmes quelques minutes avant de saisir tout ce qu’elle avait dit.
Je m’avançais la première et dit d’une voie forte et posée :
« Je m’appelle Motoko Keisang. »
À ces mots, la vielle fit de gros yeux et recula de quelques pas.
« Tu es Motoko Keisang ? Comment est-ce possible que tu es été choisie ? Tu n’es qu’une sale gosse, une sale poisseuse ! »
En entendant cela, mes yeux s’embuèrent de larmes.

Après l’histoire de la Cascade, les gens avaient beaucoup d’admiration pour moi. Je n’étais alors qu’un bébé. Je les intriguais, les impressionnais. Ils voulaient me voir. Mais lorsque le nombre de parents qui tuais leur enfants* se mis à augmenter, les gens n’étaient plus du même avis. Ils pensaient que je portais la poisse, que j’étais maudite, malchanceuse. Ils me fuyaient tous.
En petite école, j’avais une amie, la seule que j’ai jamais eue. Elle s’appelait Nurako, et nous nous adorions. Mais un jour, ses parents, ne souhaitant plus qu’elle me fréquente, la changèrent d’établissement afin « qu’elle puisse grandir dans un jardin sans mauvaises herbes ». Depuis ce jour, je n’ai jamais eue d’amis. J’étais toujours seule, dans mon coin, méprisée par les autres.

Je ne pus m’en empêcher et fondit en larme, la tête entre les mains.

*[Voir « Présentation de Motoko Keisang/Histoire »]

Atsuko lâcha la mâchoire du jeune homme. Ayumi savait qu’elle n’allait pas le tuer, c’était surement un grosse montée de colère. Le jeune homme partit en courant, apeuré.

* C’est bien fait pour lui *

Atsuko avait l’air honteuse d’avoir fait ça. C’était tout à fait normal, après tout, elles ne se connaissaient pas. Celle-ci releva la tête et proposa joyeusement d’aller aux dortoirs en prenant sa valise. Ayumi alla la suivre avec joie, lorsqu’une vielle dame entra dans la pièce, le dos courbé. La jeune hybride la dévisagea, elle avait l’air vraiment très âgée et puis…

* Une elfe… *

Ayumi n’aimait pas les elfes, elle les haïssait encore plus que les vampires. Ils avaient tués son père, ils voulaient la tuer. Sans lui, elle ne serait plus de ce monde. Elle regarda froidement la dame qui les salua en leur demanda leur nom pour la répartition des chambres. Ayumi ne lui rendit pas son salut.
Motoko commença à se présenter à la dame pour qu’elle inscrive son nom sur la liste. Celle-ci recula de deux pas et parut fortement étonnée. Ayumi ne comprit pas tout de suite sa réaction. Elle réfléchît… Motoko…

* C'est elle qui à été trempée dans la cascade et qui a survécu *

Ayumi avait connu cette cascade lors de sa plus tendre enfance, lorsqu'elle vivait encore chez les elfes. Pourquoi n’avait-elle pas fait le rapprochement avant ? Surement aveuglée par sa méfiance et sa timidité… Ayumi était en grande admiration devant Motoko qui se fit insulter Motoko par la dame. La haine d’Ayumi ne fit que croitre envers les elfes en entendant ces mots. La pauvre Motoko fondit ne larmes, malgrès que ce soit un elfe, Ayumi ne lui en voulait pas. Elle avait l’air si fragile, si pure.

- Je ne pense pas que ce soit dans le règlement de pouvoir insulter les élèves. Je vous conseil de retirer tout de suite ce que vous venez de dire ou vous pourriez avoir des ennuis.

Ayumi prononça ses mots avec de la méchanceté mélangée à la courtoisie, tout en fixant l’employée de ses yeux perçants qu’elle a lorsqu’elle est en colère. Elle d’approcha de la dame, Ayumi hésita à lui donner un faux nom… Mais a quoi bon se voiler la face ?
Tampis si elle était au courant de « l’affaire Suzuki ». Tampis, si elle se mettait à la hair car elle est mi-elfe , mi-vampire. Elle allait le dire au et fort car elle est fière de son nom. Oui, ses parents on tout fait pour la protéger. Et sa mère qui avait échanger sa vie contre le sienne... Elle devait de les rendre fiers.

- Sinon, je m’appelle Ayumi Suzuki... Et aucun commentaire.

Lui dit-elle d’un ton toujours aussi glacial tout en fixant l'inconnue.

J’attendais mes camarades quand une très vieille dame vient à nous. Sa démarche était déplaisante, peu coordonnée et ses yeux marrons clairs emplis de haine me donnait envie de vomir. En clair, je savais parfaitement que ce n’était pas ce genre de personne avec qui on pouvait bien s’entendre.
Elle se mit à nous parler du pourquoi elle était là avec toujours la même voix, je me redirigeai donc vers eux et ne dit rien. Ce fut Motoko qui prit la parole en première, sa voix était douce, je ne l’avais pas remarqué lorsque j’étais en colère, mais à présent je voyais une tout autre fille en elle.
La voix de la dame me fit sortir de mes pensées. Elle était en train d’insulter la pauvre Motoko, cela me mettait hors de moi, mais je préférai ne pas faire de scandale. Je vis Motoko qui se mit à pleurer, alors je lui caressai doucement le dos en signe de réconfort et tout de suite après Ayumi prit la parole à son tour disant que si la vieille femme insultait encore quelqu’un elle aurait des ennuis. Puis elle dit son nom et je sentis donc que je devais me présenter à mon tour, quand je me souvenais soudain du rang que j’avais dans ce pensionnat. J’étais chargée de discipline, ce qui signifiait que je devais mettre l’ordre chez les élèves mais aussi chez les professeurs. Alors sans perdre une seconde de plus je pris la parole d’un ton ferme et sûre de moi.

-Qu’en à moi je m’appelle Atsuko Sakura.

Je marquai une petite pause et repris tout de suite la parole.

-…Et je suis chargée de discipline dans ce pensionnat. Ce qui signifie que j’ai tout à fait le droit de vous "réprimander". Pour cela je tiens à vous signaler que vous n’avez aucun droit d’insulter ou de maltraité un élève juste à cause de son nom, de son passé ou juste parce que vous êtes trop stupide et trop prétentieuse pour penser que vous n’êtes pas la meilleure au monde. Si j’ai encore quelque chose à vous redire je n’hésiterai pas à faire mon possible pour vous voir renvoyer de ces lieux. Si vous avez encore des questions dites-les et laissez-nous en paix s’il vous plait.

J’avais gardé la même tonalité de voix mais mes yeux étaient devenus rouge sang. Je n’allais pas attaquer mais c’était une sorte de mise en garde, car je savais que mes pouvoirs de chargée de discipline étaient plutôt élevés…Mais pas non plus au point de pouvoir renvoyer quelqu’un je suppose.

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 07/09/2008

Kyo se leva naturellement, après une nuit d’horribles cauchemars qui l’avaient empêché de dormir sainement; il était plutôt fatigué. Mais la lumière du jour l’avait réveillé. Il se rappela que c’était aujourd’hui " le grand jour ". Le cyborg se doucha, s’habilla et prit son petit déjeuner, cette journée commençait comme toute les autres. Mais il ne devait pas oublier qu’il allait enfin intégrer ce pensionnat qui l’avait contacté par courrier il y a déjà un mois de cela.
Kyo vérifia que ses bagages soient complets et dit au revoir à ses parents puis partit.
C’est en début d’après midi, que le jeune garçon prit le train, il s’y endormi son Ipod dans les oreilles. Puis emprunta le bateau pour aller vers cette mysterieuse île. Il ne savait même pas qu’elle existait. Il y avait peu d’embarcations vers cette destination.
Après avoir prit son bateau en temps et en heure, le jeune homme s’accouda à la rambarde de l’embarcation tout en admirant le paysage. De l’eau, de l’eau et encore de l’eau. Il n’en avait jamais vu autant… Avrai dire, il n'avait encore jamais prit le bateau.
Bientôt aprecevra-til les falaise de l'île au loin. Kyo était optimiste et pas du tout stressée pour cette « rentrée », la journée était particulièrement ensoleillée.
L’embarcation s’arrêta, ils étaient arrivé. Kyo n’avait pas eu le mal de mer, celle-ci avait été calme. Kyo descendit, il était arrivé à bon port. Maintenant il suffisait juste de trouver le pensionnat…

* Ca ne devrait pas être trop compliqué *

Kyo suivit le plan qu’il avait reçu dans l’enveloppe, sa valise noire à la main. Après plusieures dizaine de minutes de marche et d’hesitation. Il appercut, derrière quelques arbres, un grand batiment. Cela changeait des quelques petites maisons campagnardes qu’il avait vu jusqu’ici. Lui qui était habitué à Tokyo.
Il suivit un sentier tout tracé qui menait à une grande porte de marbre. Il s’arrêta devant celle-ci car il entendit une voix. C’était une voix de fille, elle n’avait pas l’air contente. Elle était "chargée de discipline " d’après ce qu’il avait entendut.

* Ca sent le roussis *

Pensa-t-il en souriant. Il faisait chaud, il n'y avait que quelques nuages dan sle ciel. C'est pourquoi Kyo portait un simple tee-shirt noir ainsi qu'un jean délavé et troué. Il aurait peutètre dût s'habiller plus "classe" se dit-il.

* Peutètre que cela ferait mauvaise impression auprès des professeur... Bon tampis. *

De toute façon, Kyo n'avait pas grand chose d'autre dans sa garde-robe. Il garda son sourire, prit une grande inspiration puis poussa d’avantage la porte entre-ouverte pour entrer. Il la referma soigneusement derrière lui.
Devant lui se trouvait trois charmante jeunes filles d’a peu près son age. Surement des élève, pensa-t-il. Sur sa droite se trouvait une dame très agée, elle était courbée, ridée et avait des cheveux blanc. Kyo avait peur de déranger car il n'était peutètre pas arrivé au bon moment.

" Bonjour "

Cette femme… Je lui en voulais. A cause d’elle, j’étais maintenant en train de pleurer à chaude larmes devant des filles que je ne connaissais même pas. Voilà qui allait me faire une bonne réputation…
Soudain, une main se posa sur mon dos. Elle était chaude, douce. Je me retournais et vis que c’était la fille aux yeux rouge, celle qui m’avait fait peur. Elle souriait d’un sourire réconfortant. Je m’arrêtais de pleurer.
J’entendis une voie. C’était la fille au kimono, qui me défendait. Ma tristesse partis. Elle s’appelait Ayumi Suzuki.
L’autre fille, celle aux yeux rouges, se mit à son tour à réprimander la vielle. Un sourire esquissa mes lèvres. Elle s’appelait Atsuko Sakura et était chargée de discipline.
La vielle elfe était maintenant terrorisée.
Brusquement, un grand jeune homme entra dans la salle. Ses cheveux étaient bleus, rebelles, et tombait mollement sur son front. Sa peau était clair, sa carrure, musclée et athlétique. Il avait un visage doux, des yeux magnifiques, un grand sourire aux lèvres. Mon cœur se mit à battre la chamade. Non ! Je ne devais pas tomber amoureuse ! Ce sentiment ne devait pas gêner mes études. Et puis, de toute façon, l’amour, c’est pour les cruches…

« Bonjours. » dit-il d’une magnifique voie.

Mon cœur battit plus fort. Je tentais de l’arrêter, mais c’était comme essayer d’arrêter un vélo sans frein sur une pente raide. Je baissai la tête, reprit mes esprits, la relevai.
Ses yeux indiquaient l’incompréhension. Quelle idiote ! Avec tout ça, j’en avais oublié les autres !
Je me tournais vers la vielle, toujours tremblante de peur, et lui dit :

« Pouvez-vous nous donner nos chambres s’il vous plaît ?
-Ou..oui, oui ! Bi…bien sûre ! Euh… Atsuko Sa…Sakura et Ayumi-mi Suzuki cham…chambre 1 et Wendi Ho…Horomi et Mo…Moto-toko Keisang chambre 2 !
-Merci beaucoup ! »

J’avais tout dis très calmement, ne voulant pas d’un autre conflit. Je me dirigeais vers ma chambre en suivant le plan que m’avait donné ma grand-mère. Je jetais un dernier coup d’œil en direction des filles qui m’avaient sauvée, puis en direction de la stupide elfe et enfin vers le beau jeune homme.
Arrivée devant ma chambre, je constatais que, en dessous du chiffre doré 2, se trouvais une pancarte :

Wendy Horomi / Motoko Keisang

Je n’avais aucune idée de qui était cette « Wendy Horomi ». J’entrais.
Sur chaque lit était posée une clef.

*Sûrement celle de la chambre*

Je m’installais et rangeais mes affaires dans un des deux placard. Puis, je m’assis sur mon lit et réfléchissais.
En une journée, j’avais trouvé le moyen de découvrir un nouveau pays, d’empêcher un meurtre, de rencontrer de nouvelles races, de me faire humilier et de tomber amoureuse.
Difficile de faire mieux…

Je fixai la vieille dame sans un seul battement de cils, elle avait peur je sentais son sang se glacer rapidement. Plus je l’a regardai plus elle me dégoutait, oser traiter des gens de cette façon était digne des humains au sang « sale », enfin c’est ce que je croyais jusqu’à aujourd’hui.
Soudain la grande porte, par où j’étais entrée, s’ouvrit pour laisser passer un jeune homme aux yeux de glace. Au premier regard j’eu l’impression de voir mon frère, mais non, il ne ressemblait pas du tout à mon frère, il était totalement différent, je sentais en lui quelque chose que je ne ressentais pas chez celui que j’aimais. Je repris mes yeux normaux et me tourna vers lui pour le saluer avec un grand sourire aux lèvres.
Motoko demanda avec calme quels était nos chambres. A mon grand étonnement j’étais avec Ayumi, cela me fit énormément plaisir, je ne la connaissais pas mais je l’aimais déjà en quelque sorte. Elle avait un côté si paisible et doux, elle était unique. Pas par son sang, enfin tout le monde a un sang unique, mais là je parlais plus de ce qu’elle avait à l’intérieur. Vous savez parfois lorsque l’on rencontre quelqu’un, quelque chose sort de cette personne et vous pouvez aimer ou non. Dans mon cas j’aimais et plus particulièrement je me sentais bien avec ça. Enfin c’est un peu étrange ce que je ressentais. Moi-même je ne me comprenais pas et puis peut-être qu’elle, elle ne ressentait pas la même chose que moi.
Je passai vite ce détail car j’appris que Motoko et Wendy, j’étais déçue, cela aurait été vraiment amusant de se retrouver toutes les quatre dans la même chambre, mais apparemment on ne pouvait être que deux par chambre, alors je devais faire avec.
Puis je m’approchai vers le jeune homme, légèrement délaissé par nous toutes et lui demanda comment s’appelait-il. Je pourrais ainsi demander à l’autre bonne femme où il devait aller. Mais avant même qu’il ne puisse répondre, je repris la parole et dis des mots que je ne voulais pas dire.

-Tu es un ancien humain devenu cyborg…Tu fais parti des leurs…

Je ne savais pas ce qui m’avait pris de dire cela, ceux qui avait le sang d’un humain mais qui avait des molécules différentes étaient appelés cyborg, en nos jours les humains pratiquaient des autopsies sur les plus jeunes pour concevoir des cyborgs. Mais peut-être ce n’était pas la même chose pour lui. Je m’en voulais d’avoir dis une chose aussi atroce car ceux qui avaient vécu cela avaient dut endurer de dures souffrance aussi bien physique que moral, aussi repris-je rapidement la parole d’une voix triste.

-Je suis désolée, je n’aurai jamais dut dire cela, je ne sais pas ce qui m’a pris…

Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 07/09/2008

Kyo jetta quelques coup d'oeil autour de lui. L’une des trois filles, la plus petite, avait l’air mal à l’aise en demandant sa chambre à la vieille dame. Celle-ci avait de longs cheveux châtains et de grands yeux d’une teinte proche du violet; elle se précipita en direction de sa chambre après que la vieille dame, qui avait l’air traumatisée, ne lui dise avec qui était sa « colocataire ». Atsuko Sakura, Suzuki Ayumi, Horomi Wendy et Keisang Motoko, avait prononcé la vieille femme. Ce devait être des noms élèves et surement était-elles en face de lui. Mais il y avait plus de noms que de filles dans la pièce…
Enfin bref, en tout cas, le jeune homme n’avait aucune idée des possesseurs de ces noms. Une autre des jeunes filles l’accueilli avec un grand sourire au lèvres qui lui allait particulièrement bien. Elle avait l’air pétillante de vie. Ses yeux rouges s’accordaient parfaitement avec ses longs cheveux ondulés de couleur châtain clair. Celle-ci s’approcha de lui, elle lui demanda son nom mais avant même qu’il puisse lui répondre, celle-ci prononça des mots qui le surprirent au plus haut point. Aucun sentiment n’apparut dans son visage mais ses yeux montraient un regard très incompréhensif et coléreux. Kyo resta silencieux, il venait à peine de mettre les pieds dans le pensionnat qu’on savait déjà toute son identité. La troisième èleve était restée en retrait parée d'un long kimono blanc qui contrastait avec ses longs cheveux noirs aux reflets argentés et ses yeux rouges sang. Elle avait du entendre les propos de son interlocutrice.

* Comment est-elle au courant ? Je pensais pourtant que personne ne savait cela apar la direction de ce pensionnat... *

Kyo resta perplexe... Même ses parents n'avaient jamais prit connaissance cette horrible experience... Et puis, que voulait dire " Tu fais parti des leurs… " ? La jeune fille s’excusa immédiatement d'une voix triste, ce qui le tira de ses pensées. Kyo s’éclaircit la voix et posa ses yeux sur elle pour lui répondre :

" J'avou que je suis surpris de cet accueil, mais ce n'est pas grave. Je n'aimerais pas avoir de mauvaises relations dès le premier jour. "

Dit-il en esquissant un sourire sur ses fines lèvres roses par pure politesse. Cette remarque lui avait fait mal. Il ne savait pas ce que les autres alleint penser de lui. Ni si ce "reproche" était une simple remarque déplacée ou une insulte... Il préféra oublier cela pour passer à autre chose. De toute façon, Kyo n'était pas rancunier. Le jeune homme préféra changer de sujet.

" Apar ça, je m'appel Kyo. Et toi ? "

Il avait la mauvaise habitude de ne jamais donner son nom.